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Comment préserver ses reins ?

Une bonne hygiène de vie préserve la santé rénale, notamment l'alimentation, car ce que vous mangez a un effet direct sur les reins. L'une de leurs fonctions principale est d’éliminer les déchets.

A partir de 40 ans, la filtration rénale commence à diminuer d’environ 1% par an. A long terme, le risque est de développer une maladie rénale, d’autant plus sournoise qu’elle évolue silencieusement. Au stade de l’insuffisance rénale, les conseils personnalisés d’une diététicienne sont nécessaires. Mais avant d’en arriver là, quelques points méritent une attention particulière.

  • Manger trop salé favorise l’hypertension artérielle et certaines formes de calculs rénaux. Or, la population française a en moyenne une consommation trop élevée de sel (environ 8 à 9 g par jour). Un maximum de 6 à 7 g par jour est suffisant. Pour rehausser le goût des plats, on peut facilement remplacer le sel par des épices ou des aromates.
  • Le calcium contribue à la régulation de la pression artérielle. Il est donc indispensable, même chez les personnes sujettes aux calculs rénaux calciques. Les apports recommandés sont de 900 milligrammes par jour. La seule précaution à prendre est de bien répartir ses apports en calcium tout au long de la journée. 150 mg de calcium correspondent à 1 verre (150 ml) de lait demi-écrémé ou 1 yaourt (125 g). Des fruits et légumes à chaque repas apportent 200 à 300 mg de calcium par jour. L’eau du robinet contient en moyenne 100 mg de calcium par litre. Les eaux minérales Contrexéville, Hépar ou Courmayeur contiennent 500 à 600 mg de calcium par litre.
  • Absorber chaque jour l’équivalent de 1 g de protéines/kilo de poids idéal. Par exemple, une femme non-insuffisante rénale de 70 kilos, mais qui devrait peser 55 kilos, a besoin d’environ 55 g de protéines par jour. Les protéines animales apportent les acides aminés nécessaires à l’organisme. Dans les protéines végétales, il faut associer les céréales et les légumes secs pour retrouver tous ces éléments de base. Pour que le corps puisse les assimiler sans augmenter le travail des reins, il vaut mieux fractionner les apports en protéines lors des trois repas de la journée.
  • Boire : l’organisme a besoin de 1,5 litre d'eau par jour, en moyenne. En général, il n’y a pas besoin d’aller au-delà de cette recommandation sauf en cas de forte chaleur, de transpiration ou de diarrhée. Autre exception : les personnes qui ont tendance à souffrir d’infections urinaires ou de calculs rénaux doivent diluer davantage leurs urines et, pour cela, boire environ 2 litres par jour. Dans ce volume, on inclut non seulement l’eau, mais aussi le thé, le café, les infusions et tous les liquides à condition qu’ils soient sans sucre ajouté.

Les reins peuvent être intoxiqués par des molécules présentes dans toutes les armoires à pharmacie notamment les anti-inflammatoires et les antiacides.
En thérapie magnétique, le conseil est simple :  boire de l'eau magnétisée à volonté, vous n'en soupçonnez pas tous les bienfaits !

Comment soulager une sciatique avec les aimants thérapeutiques ?

La sciatique est une inflammation du nerf sciatique, généralement due à l’irritation d’une de ses racines. La sciatique est souvent liée à une hernie discale. La douleur démarre dans le haut de la fesse puis descend dans la jambe, voire le pied.

Si vous ne voulez pas avaler des anti-inflammatoires ou/et des antalgiques, les aimants thérapeutiques constituent une alternative naturelle et efficace.

  • Mais quels aimants choisir : dans ce cas précis, choisir les Medimag diamètre15 mm.
  • Comment les placer : il faut déterminer par palpation, le point irradiant puis placez avec les adhésifs les aimants Medimag le long du nerf sciatique en les espaçant d’environ 5 cm et en alternance, c’est à dire la face nord contre la peau puis 5 cm plus bas la face sud et recommencez jusqu'au mollet si nécessaire.
  • Combien de temps faut-il les garder : de 2 à 3 jours, nuits comprises. Cela devrait suffire à calmer la douleur, mais si elle persiste, replacez les aimants en les déplaçant de 1 à 2 cm pour laisser la peau respirer.

Une fois soulagé(e), rangez vos Medimag dans leur coffret, ils ne s’usent ni ne s’abîment, ils seront prêts pour une prochaine utilisation.

Le sommeil lent profond : sommeil réparateur

Le sommeil profond, aussi dit sommeil lent profond, est l'une des phases les plus importantes des cycles qui rythment nos nuits. Il est considéré comme le plus réparateur.

Pour rappel, le sommeil est constitué de quatre à six cycles successifs, qui durent chacun environ 90 minutes. Chaque cycle comporte 3 principales phases : le sommeil lent léger, le sommeil lent profond et le sommeil paradoxal. Le sommeil profond succède donc à la transition éveil-sommeil et au sommeil léger. Il est caractérisé par :

  • la baisse de la température corporelle
  • le ralentissement de la respiration
  • l'accélération du pouls
  • le relâchement des muscles
  • la diminution des perceptions sensorielles
  • une détente totale

La personne endormie n'est plus capable de réagir aux stimulations extérieures (bruits, lumière, mouvements, etc), c'est donc le moment de la nuit où elle est la plus difficile à réveiller. C'est d'ailleurs la phase durant laquelle surviennent le plus souvent les crises de somnambulisme ou les terreurs nocturnes. Par ailleurs, les rêves sont beaucoup moins fréquents pendant le sommeil profond.

Si le temps de sommeil varie d’une personne à l'autre, la durée de sommeil profond, elle, est à peu près la même, que l’on soit un petit ou un gros dormeur. Elle représente en moyenne 25 % du sommeil total. Il dure donc environ deux heures par nuit chez l'adulte, et jusqu'à trois heures chez l'enfant.

L'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé précise : en début de nuit et jusqu’à 3-4 h du matin, le sommeil profond est plus abondant. En revanche, la seconde partie de la nuit jusqu’au réveil est plus riche en sommeil léger et en sommeil paradoxal.

En thérapie magnétique, le set du sommeil Actipol renforce la relaxation et favorise la phase de sommeil profond.

Auriculothérapie : on soigne quoi ?

En stimulant des points au niveau du pavillon de l'oreille, l'auriculothérapie permet de soulager migraines, addictions, états anxieux et douleurs.

Pratiquée de façon empirique depuis la nuit des temps, l'auriculothérapie a été redécouverte dans les années 50 par le Dr Paul Nogier. Sur cette zone réflexe très riche en nerfs, il a identifié des points correspondant à chaque partie du corps et reliés à différentes zones du cerveau. Cette correspondance neurophysiologique permet l'envoi de requêtes thérapeutiques au cerveau en pianotant sur les touches des claviers auriculaires. Si les requêtes sont sensées et pertinentes, le cerveau tente alors, en vertu de nombreuses lois de neurophysiologie, de corriger ou d'atténuer le ou les problèmes.

Reconnue par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en 1990, l'auriculothérapie se développe de plus en plus dans les hôpitaux.

En auriculothérapie magnétique, Auris vous propose les Medimag Slim/Smoke. Un aimant néodyme de 5 mm de diamètre associé en attirance avec l'un des 3 aimants de 10 mm de diamètre de 1, 1,5 et 2 mm d'épaisseur pour régler la pression idéale sur l'oreille. La paire d'aimants est à placer sur le point à stimuler.

L'auriculothérapie est particulièrement efficace contre les douleurs de tous types : musculo-tendineuses, rhumatologiques (sciatique, arthrose… ), inflammatoires (colite, gastrite… ), post-traumatiques, post-chirurgicales. Elle permet aussi de traiter des dépendances (tabac, alcool, alimentation… ), les troubles neurofonctionnels (tics, bégaiement… ), mais également les problèmes neurologiques (céphalées, migraines, troubles du sommeil… ), ORL (otites, vertiges, sinusites… ), stomatologiques (douleurs dentaires, préparation à une intervention… ), gynécologiques (troubles du cycle, de la sexualité, bouffées de chaleur, préparation à l'accouchement… ).