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Difficultés d'endormissement, sommeil agité, entrecoupé d'insomnies...

Nos nuits sont de plus en plus courtes et nos sommeils de moins en moins réparateurs : c'est le constat de plus d'un français sur 3 aujourd'hui.

Si vous présentez des sautes d'humeurs, des troubles de la concentration ou encore une fatigue chronique, c'est peut-être parce que vous souffrez de troubles du sommeil. 28% des français dormiraient moins de 6 heures par nuit et cette carence serait accrue chez les personnes entre 35 et 55 ans.

Le 17 mars, journée internationale du sommeil, est l'occasion d'approfondir le sujet pour des journées plus sereines...

Ponctuellement les conséquences d'une réduction du temps de sommeil seraient limitées, mais en cas de chronicité, cela aurait des conséquences sur la santé, notamment sur l'immunité. Une réduction de 30 à 90 minutes par nuit sur une période de 5 jours altèrerait les performances psychiques et physiques de la même manière qu'après une nuit blanche.

Penchons-nous sur un cycle de sommeil "normal"

Bien que les besoins de chacun soient différents… Physiologiquement, une nuit compte entre 3 et 6 cycles de sommeil et un cycle dure environ 90 minutes.

Les premières minutes l'individu est en phase d'endormissement, suivie d'un état de sommeil avéré, appelé sommeil lent léger, et au bout de quelques dizaines de minutes, le sommeil s'approfondit encore pour passer à un sommeil lent profond. Au bout de 90 minutes environ, le sommeil lent profond bascule dans une phase de sommeil paradoxal. Le premier cycle est ainsi achevé et un autre commence.

Au fil de la nuit, la composition des cycles va évoluer : le sommeil lent profond est très abondant en début de nuit, se fait plus rare et disparaît complètement au petit matin. A l’inverse, le sommeil paradoxal, court en début de nuit, va occuper une place croissante dans chaque cycle de sommeil.

C'est durant la phase de sommeil lent profond que l'organisme récupère le plus de sa fatigue physique, mais c'est pendant la phase de sommeil paradoxale que les rêves sont le plus abondants.

En cas de réveil spontané 20 minutes avant la sonnerie du réveil, il est préférable de se lever plutôt que de se rendormir et de démarrer un nouveau cycle.

Ces quelques descriptions physiologiques vous auront peut-être permis d’identifier le moment du cycle dans lequel vous avez le plus de difficultés.

Dans tous les cas les petits conseils suivants pourraient vous venir en aide :

Aérer votre chambre au moins 1 heure avant le coucher. La fraîcheur permet un meilleur endormissement en stimulant l'aspect végétatif du système nerveux (état qui favorise le repos, la digestion...)

Eviter l'exposition à la lumière bleue (et donc aux écrans !), qui sursollicite le système cognitif et encourage l'activité plus que l'endormissement !

La mélatonine, appelée aussi hormone du sommeil, permet à l'individu de rythmer ses cycles de sommeil, facilite l'endormissement et améliore la qualité du sommeil. Il est donc conseillé de faire des cures de mélatonine (à dose physiologique pour ne pas développer d'accoutumance). En micronutrition, on encourage la consommation d'une banane vers 17h, qui favoriserait la synthèse de mélatonine dans l'organisme.

La magnétothérapie peut également améliorer votre sommeil en repolarisant le système énergétique. Actipol®, par exemple, est un set de 2 pads magnétiques à placer sous le matelas. En effet, il est de connu que dormir la tête au Nord serait bénéfique à la qualité de notre sommeil. Or, il n'est malheureusement pas toujours possible d'orienter nos lits de cette manière. Ces pads magnétiques se chargent de corriger le tir en restaurant un champ magnétique homogène, stable et constant et en éliminant les points géopathogènes comme les noeuds Hartman. Actipol® améliore ainsi significativement la qualité du sommeil et contribue à réduire les temps d’endormissement.

Vous pouvez également encourager les temps méditatifs. Au coucher notamment, ils sont source de sérénité et de bien-être. Certaines applications internet proposent des séances guidées, permettant de se reconnecter à nos propres sensations corporelles et de moins travailler du chapeau !